Qui dit fin d’année scolaire pour nos étudiants, dit hackathon ! L’année dernière, nos étudiants ont dû réfléchir autour de la problématique de l’école de demain. Cette année, nos étudiants ont eu le choix entre deux sujets : inventer le Tinder professionnel, ou le Twitter français anti fake news.
Jour 1 : Celui qu'on retient
Pour rappel, le hackathon est un challenge d’une semaine pour les étudiants de toutes nos promotions. Celui-ci va leur permettre de consolider leur portfolio et leur expérience professionnelle, mettre à profit leurs compétences acquises lors de leur formation et maximiser leur potentiel professionnel via les rencontres. Ils vont devoir travailler en équipe de 10 à 12 personnes, sur un des deux sujets choisis et seront mixés par promotion. Au terme de cette semaine, chaque groupe présentera son projet devant un jury de professionnel qui les auront également suivi toute la semaine.
Les campus de Paris et Rennes ont pu lancer leur hackathon dans leur ville respective afin de présenter les sujets en détails et le déroulé de la semaine. Pour Rennes, il s’agit du premier hackathon !
Bien débuter : la cohésion d'équipe
La première journée était orientée vers la cohésion d’équipe. En effet, pour bien débuter un projet avec des membres que l’on ne connait pas forcément, il faut briser la glace et apprendre à se découvrir les uns les autres. Pour Paris, de nombreuses activités ont été mises en place pour souder les groupes : yoga, parcours, initiation au self defense… Quant à Rennes, nos étudiants ont pu se défouler grâce au lancer de haches !
Des mentors pour les accompagner
Durant trois jours, des mentors d’horizons professionnels divers et variés : développeurs, experts data & IA, chefs de projets, designers ou encore experts cybersécurité sont présents sur les campus pour répondre aux questions des apprentis sur les sujets et les conseiller sur le projet qu’ils mettent en place en vue de la grande finale de vendredi.
Maintenant place au hackathon et bon courage à tous nos étudiants et apprenants !
Par Léna Queguiner
Chargée de communication